Assassinat d'un homme riche

Un homme s'approche de vous, sans rien dire. Il s'assied à une table à côté de vous puis murmure

"Un contrat d'assassinat, çA vous tente?"

Shigure Takimi était entré dans la taverne un peu pour aller voir un oeil. Eventuellement gagner de l'argent... Pour le moment, peu lui importait le moyen. Souvent, les plus risquées et les moins légales rapportaient le plus.
C'est pour cela qu'il s'assit à une table, son sabre posé à côté de lui, prêt à être dégainé. Lorsque la personne s'adressa à lui, Takimi se composa un visage vide, dénué d'émotion, et répondit avec la même intensité, d'un ton égal, comme si de rien était :

"Donnez-moi la cible, le prix, où je peux le trouver et où vous recontacter. Et j'accomplierai votre contrat sans poser davantage de questions."

Le mec ne paraissait absolument pas convaincu par cette.... ouais cette façon de se présenter

"Ouais faudra aretter de te rpendre la tête mon gars. Ici, c'est pas comme ça que ça marche... On viens ici, on accepte ou on refuse et après on entre en matière..:"

Enfait, l'homme au contrat ne s'était pas tout de suite rendu compte que Takimi avait accepter le contrat >_> Du coup, quand il se rendit compte de sa stupidité fort convaincante, il se reprit du mieux qu'il peut:

"Enfin, je vois que tu dois surement être.... un habituée aha ^^'"

Et ben... pas fameux...

"Bon, ta cible, c'est un mec qui vit dans les quartiers riches, tout pret des quartiers chauds... Enfait, il est super riche, et il a payer des gens pour avoir ma tête, tout ça parce que je l'ai ridiculisé en amenant des potes aux quartiers chauds pendant qu'l..."

Le mec s'aretta et s'éclaircit la gorge.

"Passons. Ce mec veut ma peau alors je veux me le faire avant. Ses employeurs me lacheront s'ils n'ont plus de raison de travailler. Donc c'est pour ça que j'ai besoin de toi. Tiens!"

Il lui donna un papier et un pèetit parchemin, ainsi qu'une petite fiole.

"Je ne veux pas qu'on surprenne ma conversation, alors tire toi d'ici, trouve un endroit tranquille et tu trouveras toutes els infos que tu veux sur ces papiers. Fait bien attention à la fiole surtout. Aller, vas-y!"

Et il se leva et se dirigea comme si de rien était, en direction du comptoire.

Shigeru le laissa partir, semblant rêvasser, mettant l'air de rien la fiole et le papier dans sa manche gauche. Il se leva ensuite, passa son sabre dans sa ceinture et sortit de l'auberge, sortant le petit papier et le lisant comme s'il lisait une lettre d'une personne qu'il connaissait. Malgré tout, il faisait un minimum attention à ce qui se passait autour, quitte à relire le papier une ou deux fois.

[Hors Jeu : Continue-t-on sur ce sujet ? Et qu'y a-t-il d'écrit sur le papier ? ^^]

(Oui oui ^^ T'inquiète pas )

Takimi regarda donc le papier. Il dût alors le déplier. Il découvrit alors un plan de la ville, remarcablement bien réalisé sachat qu'il avait été fait à la va-vite. Il déplia également le rouleau et pu lire:



Après avoir lu le tout, il se dirigea donc vers la maison du riche et l'aperçu enfin:

Une grande maison de bois, sur ce qui semblait être deux étages. Pas très courant chez les riches... Elle se trouvait à l'intérieure d'une grande étendue de terrain qui devait être son jardin personnel, entouré conscieusement d'une barrière en pierre qui devait approcher les 2M20 et un portail en fer. Et le point "emmerdant", c'est qu'à l'intérieur du jardon typiquement japonais, on découvrait des gardes qui faisaient des rondes avec un timing totalement irrégulié -.-

Note: A ce moment là, il est 11H00 du matin. Pas mal de gens circulent dans la rue...

Takimi replia le papier et le glissa à nouveau dans sa manche. Le portail de fer était à exclure. La jardin aurait pu être une solution, si toutefois les rondes n'étaient pas si irrégulières, comme il put se le rendre compte en observant un moment. Le rônin fit le tour afin de chercher un endroit plus aisé d'accès, comme un petit bois. [HJ : Je trouve ?]
De toute facon, il était trop tôt pour agir. Shigure Takimi fit un petit tour, posant es questions anodines sur les habitudes des gardes, tout ce qui pouvait lui être utile, puis se retira dans un coin tranquille, non loin, pour dormir jusqu'à approximativement la tombée de la nuit.
Une fois la nuit tombée, il se releva, fort des enseignements sur les lieux...

[HJ : Qu'ai-je trouvé ou appris ?]

Alors que Takimi cherchait autour de la maison, il ne découvrit (bie sûr) pas de petit bois. La ville empéchait la plupart des arbres de pousser.

Quand aux renseignements sur les gardes, il en avais pas eut beaucoup, si ce n'est qu'il y en avais plus la nuit, et qu'ils faisaient des rondes plus près des murs de l'habitation plut^t que les murs, pour éviter des attaques aérienne par surprise. Mais conclusion: Rentrer à l'intérieur du jardin devenait plus facile.

Il trouva donc un coin de bâtisse fort sombre, ou les gens avaient l'impression qu'il s'était juste défoncé la gueule à l'alcoole, du coup, on le laissa tranquille jusqu'à 22H00 environ.

Par chance, La lune n'était qu'en croissant, et de gros nuages la cachait pour l'instant: Des nuages de pluie...

C'allait être drôle de traîner le corps dans de la boue... cela signifiait agir vite. Très vite. Et ce malgré les lampes que les gardes auraient certainement.
Attendant le passage d'une patrouille, Takimi grimpa immédiatement après. Il resta quelques secondes accroupi sur le haut du mur, pour vérifier que la patrouille passait bien et que la suivante n'était pas encore là, et sauta pour aterrir en une roulade, en douceur et silencieusement. Puis il suivit la première patrouille, longeant le mur, la main gauche posée sur le fourreau, prêt à dégainer. Et ce, jusqu'à un endroit d'entrée facile, qu'il utilisa pour pénétrer dans la maisonnée...

[HJ : Que vois-je ? Qu'entends-je ? etc]

Il passa donc dans l'herbe et se glissa silencieusement dans le jardin jusque vers la patrouille. Celle-ci ne le remarqua pas tout de suite, mais soudain, un sifflement parvint aux oreille de Takimi:

Un homme était placé sur le toit! Impossible de l'apercevoir sur le coup, mais la flèche qui avait faillit l'embrocher était plantée dans le sol en position horizontale, l'arrière de la flèche dirigé en direction du toit.

Apperemment, l'alerte n'avait pas été encore lancée. Il fallait agir vite!

Regrdant autour de lui tout n se cachant instinctivement derrière un arbre, Takimi voyait les hommes de la ronde se diriger vers le coins de l'habitation en discutant. Ils avaient une lape dans leur main: De l'autre côté, aucun signe d'hommes de rondes, aucunes lumière, aucuns sons.

Quand au type sur le toit, il allat être problématique. Impossible de le repérer. Son camouflage devait être parfaitement rodé avec la couleure du toit et la sombrité de la nuit...

"Heain?!"

Les mecs regardent vers la pierre, et sont tellements sur que Takimi s'y trouve qu'ils ne détournent pas le regara avant au moins 4 secondes. Takimi arrive finalement sans aucun problèmes contre le mur de la maison, et l'archer ne sait pas ou se trouve Takimi.

Les gardes qui faisaient leur ronde ne font pas vraiment attention et ne tardent pas à continuer leur ronde...

Pendant ce temps, l'archer sur le toit scrute le plus précisément possible chaque recoins du jardin... mais ne pense pas à regarder à 90 degrès vers le bas...

Takimi se trouvait alors sous ce qui aurais pu etre une fenetre, mais elle était bouchée pèar un tissu. Comme si on l'avait scellée. Passer à travers allait devoir imposer certaines conditions, comme le temps du découpage du tissu sans le moindre bruits ou d'autres choses agaçantes...

Et sinon, il allait falloir faire le tour de l'habitation pour trouver une autre entrée.. Ou simplement renoncé à être discret et rentrer dans l'habitation sans se poser de question: En arrachant bruyamment le tissu.